Des subventions sont nécessaires pour les familles à faible revenu pour garantir l’accès universel au Plan de médicament du Nouveau-Brunswick

11 DÉCEMBRE 2013

Le Parti vert accueille favorablement l’introduction d’un plan de médicament pour garantir que tous les Néobrunswickois aient les moyens d’acheter les médicaments dont ils ont besoin. Toutefois, le chef du Parti vert a fait part de ses inquiétudes que durant la première phase du plan les primes soient trop élevées pour les Néobrunswickois à faible revenu.

« Nous demandons instamment au ministre de la Santé qu’aussitôt le projet de loi 27 devenu loi, un règlement garantisse que les familles à faible revenu obtiennent une subvention pour les primes et les couts réduits lorsqu’elles sont incapables de les payer, » demande David Coon, chef du Parti vert.

L’administration provinciale a dû abandonner son plan de faire contribuer les employeurs au Plan de médicament du Nouveau-Brunswick face aux pressions concertées des groupes d’affaires qui se sont opposés à participer à un tel plan en ce moment. L’administration de la province avait initialement proposé que les employeurs contribuent à 15 % des couts du plan et que les participants en payent 63 % et les fonds publics 22 %. Sans la participation des employeurs, les membres du plan payeront 46 % des couts et le gouvernement 54 %.

« C’est une mesure législative d’une telle importance pour les Néobrunswickois qu’elle devrait être soumise au Comité d’amendement des lois pour une revue détaillée, » remarque Coon. Coon recommande que « L’Assemblée législative doive s’assurer que le projet de loi 27, la loi sur la gratuité des médicaments soit la meilleure qui soit. »