Le Transport

Après les centrales électriques, le transport est la deuxième plus grande source de pollution causant des changements climatiques. Pour atteindre nos cibles, nous devons complètement repenser notre façon de nous déplacer au sein de nos communautés et entre elles.

En plus de diminuer la pollution et les embouteillages, l’accès à un service public abordable et pratique est également important pour les citoyens. Il est essentiel pour réduire la pauvreté et l’isolement, et assurer une équité entre les citoyens. Pourtant, le Nouveau-Brunswick est la seule province qui ne subventionne pas le transport urbain. Le Nouveau-Brunswick n’a pas non plus de véritable système de transport public adéquat entre les communautés. Le plus choquant envers le droit à la mobilité des Néo-Brunswickois est le refus des libéraux et des conservateurs d’assurer une lien directe entre Campobello et la terre ferme. Contrairement à Grand Manan, Deer Island et White Head, Campobello a été bloquée et abandonnée.

Un gouvernement Vert :

  • acceptera sans tarder l’offre fédérale de fonds dédiés au développement des réseaux des transports publics et du système de transport collectif.
  • subventionnera les systèmes de transport en commun municipaux avec la taxe sur le carbone.
  • procurera un système de transport collectif pratique et abordable pour les régions qui ne ne sont pas desservies par des bus privés.
  • élaborera un plan pour un service de trains de banlieue dans le triangle de Fredericton-Saint-Jean-Moncton, et une liaison par rails entre le nord du N.-B. et le triangle.
  • fournira aux résidents de l’île de Campobello une liaison à la terre ferme par traversier à l’année longue.
  • reconnaîtra le caractère essentiel des traversiers sur la rivière Wolastoq (St-Jean).
  • financera les sentiers et les voies pédestres et cyclables dans les communautés et fournira une formation sur le cyclisme sécuritaire aux élèves des écoles primaires.

La transition vers les véhicules électriques et hybrides se fait beaucoup trop lentement. Une intervention gouvernementale est nécessaire. La sécurité routière est également problématique, particulièrement dans les régions rurales où l’entretien des routes est négligé, rendant les conditions de conduite dangereuse.

Un gouvernement Vert :

  • créera un programme incitatif pour l’achat de véhicules électriques afin de remplacer un total de 20 000 véhicules à essence, d’ici 2030.
  • remplacera la flotte du gouvernement rapidement pour des véhicules électriques y compris les autobus scolaires.
  • augmentera le financement pour le débroussaillage, la tonte, le déneigement et le traçage des lignes de circulation afin d’assurer la sécurité des automobilistes, des cyclistes et des piétons.